...non pas de comptoir mais de palais de justice !
Allez la voir chez Miss Hello Kitty, encore une fois au fait de l'actualité.
C'est toujours le même refrain sur lequel la presse s'empresse de réagir, avec pêrtes et fracas, quoique l'article d'Ouest France reste très sobre.
Les grands-parents qui se désolent d'être séparés de leur petite-fille, née sous X, qui ne veulent que son bien, mais qui auraient voulu l'élever. On comprend tout à fait sincérement leur douleur. Mais c'est inutile d'en faire un plat à chaque fois, la décision de la mère n'appartient qu'à elle, et on ne connait pas les raisons qui l'ont poussée à faire un accouchement sous le secret, plutot que de le confier à ses parents, ou plutot que de signer un consentement à l'adoption sans rupture de la filiation, qui aurait pu amener le conseil de famille à confier cet enfant à des proches. Tant que l'on ne sait pas cela, et on ne le saura jamais car ce ne sont pas nos oignons, ce n'est pas la peine d'en discuter. Seul point de discussion, si elle l'a fait car elle ne savait pas que d'autres solutions étaient possibles, cette jeune femme peut (les deux mois n'étant peut être pas passés) revenir sur sa décision, si elle l'a fait sciemment, la Loi et plus encore nous ne pouvons que nous incliner devant sa décision, aussi cruelle nous semble-t-elle !
Merci encore, à "la petite jeunotte qui fait du bon boulot en Inde" (Appelation d'Origine Contrôlée) de sa vigilance !
2 commentaires:
la seule question pour moi est de savoir si cette jeune femme savait au moment de choisir l'accouchement sous X TOUTES les options qui s'offraient à elle avec leurs nuances juridiques dont vous parlez.
si oui, alors, le sujet est clos : c'est son droit et son choix. Nous n'avons pas à discuter à l'infini sur les "vraies" raisons de son choix.
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